L’utilisation de certaines palettes de couleurs, des taux de saturation, l’adaptation de l’outil de mesures, sont autant de manières de présenter les résultats les plus probants, notamment face au client moins expérimenté que le professionnel.
FAIRE ATTENTION A L’ENVIRONNEMENT EXTERIEUR
Une façade ensoleillée, une pluie forte, des conditions météorologiques qui ne présentent pas un écart de températures suffisant entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment… Autant de précautions dont il faut mesurer l’impact avant de commencer à travailler. De plus, pour éviter toute contestation potentielle, ces relevés apparaitront de façon sûre sur le rapport d’inspection.
REALISER DES THERMOGRAMMES SIGNIFICATIFS
Il ne faut pas hésiter, au cours des déplacements sur les lieux à inspecter, à réaliser des prises de vues qui seront claires à comprendre et exploitables. La prise de vues sous un angle ou un autre fera apparaître des phénomènes de façon plus ou moins visible. Dans le doute, on réalisera plutôt davantage de thermogrammes que pas assez car le rendu sur l’écran de la caméra sera certainement différent de l’effet rendu sur l’écran d’ordinateur et encore différent de l’impression papier du rapport qui sera laissé au client.
FAIRE SON AUTOCONTROLE AVANT DE STATUER
Avant toute prise de position ou conclusion à apporter sur une inspection, il est souhaitable de se poser les bonnes questions :
- Ai-je pris le meilleur cliché ?
- Ma caméra est elle bien paramétrée ?
- Ce que je fais est-il compréhensible par mon client ?
- Mon inspection est-elle réalisée pour connaître un défaut déjà repéré ?
- Le déroulement de mon inspection va-t-il me permettre de répondre au questionnement de mon donneur d’ordre ?