On saura cet été si la demande de permis exclusif de recherche sur le site de Salau est accordée par le ministère de l’Industrie. D’autres études sur l’amiante notamment seront nécessaires avant le premier coup de pioche.
Le sujet est brûlant entre partisans et opposants. La mine de Salau et son éventuelle réouverture enflamment le débat depuis plusieurs mois déjà dans le haut Couserans.
La demande de permis exclusif de recherche déposé par Variscan est à l’instruction au ministère de l’Industrie, a rappelé, hier, Marie Lajus, la préfète de l’Ariège, lors d’une conférence de presse où elle a balayé les sujets de l’actualité départementale.
Décision ministérielle cet été
À partir de cet avis, le ministre devrait arrêter sa position dans le courant de l’été. Mais l’obtention éventuelle du permis exclusif de recherche ne marquera pas le démarrage de travaux d’exploration dans l’immédiat. «On n’en est pas là… Le permis de recherche n’autorise pas le démarrage de travaux» rappelle Marie Lajus. Certains travaux – les plus légers – sont soumis à déclaration.
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